Review in english :
Under the Fragmented Sky by Mariusz Duda. This 2018 album contains 8 tracks and only 35:58 of
music. According to Google Music it is categorized as Electronic Music, for many critics it is
a progressive rock album. We feels several similarities or influences with their contemporaries
ie Opeth, Beardfish, Porcupine Tree, Black Field, Steven Wilson especially with regards to
acoustic guitar use and strumming accompanied by a Lake-Type (ELP) voice. Track 3 reintegrates
acoustic instruments and these instruments are present from this moment in order to balance
electronics and acoustics. The track n. 4 is by far the best with his acoustic guitar, his
waltz rhythm, his aerial and emotional sounds. Track # 5 we feel progressive influences ie
Falling into infinity and Six Degree of inner turbulence from Dream Theater.
We feel that there is a work on the sound level. We try here to be minimalist, but to use
effective sounds and it is successful. We also use the autotune and the vocoder several times
in this album which is a proof of the influences of the electronic music. The album is well
worked, but repetitive. Often the tracks are tasteless and lack personality.
Review in french :
Under the Fragmented Sky par Mariusz Duda. Cet album de 2018 contient 8 titres et seulement
35:58 de musique. Selon Google Music il est catégorisé comme Musique électronique, pour
plusieurs critiques il s’agit d’un album de rock progressif. On sent plusieurs similarités ou
influences avec leurs contemporains c’est-à-dire Opeth, Beardfish, Porcupine Tree, Black Field,
Steven Wilson surtout en ce qui concerne les bouts de guitare acoustique et de strumming
accompagner d’une voix à la Lake. La piste 3 réintègre des instruments acoustiques et ces
instruments sont présents à partir de ce moment dans le but d’équilibrer l’électronique et
l’acoustique. La piste n. 4 est de loin la meilleure avec sa guitare acoustique, sa rythmique
de type valse, ses sonorités planantes et émotives. La piste numéro 5 on sent les influences
progressives à l’image des albums Falling into infinity et Six Degree of inner turbulence de
Dream Theater.
On sent qu’il y a un travail au niveau sonore. On essaie ici d’être minimaliste, mais
d’utiliser des sons efficaces et c’est réussi. On utilise aussi l’autotune et le vocodeur à
plusieurs reprises dans cet album ce qui est une preuve des influences de la musique
électronique sur cette musique. L’album est bien travaillé, mais répétitif. Souvent les pistes
sont insipides et manquent de personnalité.
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